L’avant-propos du livre de Chantale Beaumont propose une invitation à la transformation intérieure. Elle partage son parcours personnel et spirituel, en soulignant que le lecteur peut se redéfinir au fil de la lecture. Le livre a pour objectif de permettre à chacun de se libérer des croyances limitantes et de s’élever vers une réalité élargie. Il est fondé sur des expériences personnelles et des enseignements reçus par canalisation. Chantale encourage à lire le livre en pleine conscience, expliquant que son contenu agit au-delà de la compréhension rationnelle pour opérer un changement vibratoire profond. Cette transformation peut susciter des réactions physiques et émotionnelles chez certains lecteurs, qu'elle invite à accueillir avec bienveillance. L’ouvrage est conçu pour initier un cheminement vers la redécouverte de soi, l’acceptation et la réalisation de son potentiel infini.

La préface de ton livre aborde le concept de l’éveil de conscience, qui survient lorsque l’on réalise que notre perception de soi et du monde change radicalement. Cet éveil, souvent déclenché par un choc ou une expérience intense, peut bouleverser profondément et provoquer une remise en question des croyances. L’individu perçoit alors son environnement différemment, ce qui peut susciter des réactions de peur ou de confusion, parfois assimilées à des « psychoses ».

Cependant, l’éveil peut aussi être vécu de manière plus sereine en cultivant la curiosité et l’ouverture d’esprit. Le texte met en avant l’importance de la flexibilité mentale et émotionnelle pour accueillir ces changements, parfois qualifiés de « sauts quantiques », des transitions soudaines vers une nouvelle réalité.

Il souligne également la dualité entre l’Âme et l’Égo et la nécessité de les intégrer pour accéder à une conscience plus vaste. Cet équilibre permet de transcender les limites identitaires et de découvrir notre véritable essence au-delà de la matière, visant une réintégration dans l’Unité de l’Amour Inconditionnel.

Dans Et si Dieu était matière, l’auteure redéfinit Dieu comme un « Regard » omniprésent, symbolisé par « D’Yeux », qui représente l’Amour, la Conscience et le Savoir, et réside en chaque individu. Elle critique les illusions humaines, telles que le manque d'amour et le besoin d’identification par les possessions et le statut, qui éloignent l'individu de sa véritable essence divine.

Ce texte explore comment la croyance en des paradigmes restrictifs, le matérialisme et la dépendance sensorielle entraînent des comportements autodestructeurs. La douleur, perçue comme une punition externe, est en réalité un appel à la reconnexion intérieure et à la prise de responsabilité comme créateurs de notre réalité. L'auteure invite à dépasser ces illusions pour accéder à un état de conscience plus vaste, aligné avec l'amour inconditionnel et la liberté d'une existence sans limites.

Ce livre propose un repositionnement spirituel pour redécouvrir l'autonomie divine, en cultivant un regard conscient et un choix d'amour qui transcendent les besoins illusoires, menant ainsi à une véritable liberté intérieure.

Le chapitre 1, L’Illusion existentielle, explore la notion de victime et la complexité du concept de « RECEVOIR » dans le processus de l’éveil de conscience. L’auteure explique que l’ego n’est qu’une croyance, une vision limitante de soi, et non la véritable nature de l’individu. La libération émotionnelle passe par la déconstruction des étiquettes et des identités que l’on s’impose, souvent en raison de traumatismes passés.

Chantale met en lumière que les rôles de victime et de bourreau sont souvent construits par la perception de la réalité, et qu'ils peuvent être surmontés en choisissant de se voir autrement. Elle insiste sur le pouvoir que chaque individu détient de se redéfinir en se détachant des situations passées et de l’importance de se reconnecter à son essence, au-delà des blessures et des illusions de l'ego. Ce chapitre invite à questionner les concepts de bien et de mal et à percevoir les expériences difficiles comme des opportunités de croissance vers un amour inconditionnel.

La première partie du chapitre 2, L'HUMAIN, traite du rôle du corps dans l'expérience humaine sur Terre. L'auteure explique que le corps humain est un outil permettant de percevoir l'Amour dans un monde matériel, où le toucher et la vision sont essentiels pour rendre l'amour tangible. La Terre est décrite comme un lieu d'apprentissage pour l'exploration de l'Amour dans la matière, comparable à une école pour un créateur divin qui découvre son pouvoir.

Le corps, avec ses limites, est un moyen de restreindre les dégâts potentiels tout en apprenant à maîtriser ses capacités créatrices. En dépassant ces limites, une personne peut s'émanciper et accéder à une plus grande expression de son potentiel divin. Le corps impose des qualités telles que la patience et l'humilité, essentielles pour développer une sagesse divine et créer en harmonie avec le Tout. Le chapitre souligne que, même si le corps semble être une limitation, il offre en réalité un espace sécurisé pour expérimenter et manifester l'Amour Inconditionnel.

L’ENFANT : 

Le volet ENFANT du deuxième chapitre explore l'état de l'enfant comme une phase de vie qui peut durer indéfiniment si la personne ne progresse pas. Il souligne que cette étape est marquée par l'illusion du manque d'amour, où l'enfant perçoit l'amour de manière maladroite ou inconsciente. Cette phase est caractérisée par un champ perceptuel restreint, axé sur le sensoriel, et ne prend fin que lorsque la personne commence à voir au-delà de ses ressentis physiques, comprenant que la réalité est une création naissant de ses perceptions.

L’enfant développe ses croyances identitaires à partir de ses premières expériences, qui le mettent en confrontation avec ses limites. Son besoin de sécurité le pousse à reproduire les comportements observés chez les autres, en imitant ce qu'il perçoit comme nécessaire à sa survie. Cette imitation et la communication d'urgence (cris, pleurs) sont des moyens de survie pour lui.

Les comportements de l’Enfant, guidés par la quête de l’amour et la peur du manque, peuvent persister et devenir des schémas rigides s'ils ne sont pas questionnés. Passer de l’état de l’Enfant à celui de l’Adulte nécessite de vivre au présent et de revisiter ses expériences pour en tirer des leçons, abandonnant les croyances limitantes pour accéder à une plus grande liberté intérieure.

L’ADULTE :

Le volet "Adulte" du chapitre explore la transition de l’individu vers un état de conscience plus mature, où il accepte de prendre sa place légitime. Il réalise que ses expériences passées étaient nécessaires pour incarner l’amour dans la matière, et il apprend à remettre en question ses croyances identitaires limitantes.

L’Adulte se distingue de l’Enfant par sa capacité à vivre en conscience, à observer ses ressentis corporels sans s'y laisser piéger, et à comprendre que sa vie est une création et non une réalité figée. Il transcende les relations de dépendance, accepte sa dualité entre Âme et Égo, et s’engage dans une quête de réalisation personnelle.

Ses besoins évoluent vers une reconnaissance de soi et une connaissance de sa Trinité : Âme, Égo et Corps. Son objectif est de développer son potentiel divin, de se libérer des croyances limitantes et de créer sa réalité en pleine conscience, en choisissant la voie de l’évolution plutôt que celle de la survie. Ce chemin demande foi et ouverture à la providence, facilitant ainsi le passage de l’Adulte au Maître.

La première partie du chapitre 3 aborde le concept de la Trinité ; la dualité entre l’Âme et l’Égo, et la Conscience Divine. Elle explique que D’Yeux, souhaitant déployer son essence à travers la création, a donné naissance à une multiplicité de consciences, permettant aux êtres humains d’explorer les dimensions matérielles de la Terre. Chaque humain, en tant que fragment divin, possède une Âme, une Conscience créatrice et un Égo né de l'expérience physique.

L’Âme incarne l’Amour Inconditionnel et aspire à le manifester dans la matière, tandis que l’Égo, forgé par les ressentis corporels, s’ancre dans la réalité matérielle, souvent marquée par la souffrance, le doute et la peur. Ce contraste crée un conflit interne entre la quête de l'Âme pour la reconnaissance de l’amour et la résistance de l’Égo, convaincu de sa séparation de cette essence divine.

L’interaction entre l’Âme et l’Égo devient un processus complexe, où le corps agit comme un médiateur, utilisant la douleur et les maladies pour attirer l'attention sur les déséquilibres. Ce chapitre souligne que la clé réside dans la réconciliation de ces deux aspects, permettant à la conscience de transcender la matière et de renouer avec sa nature divine originelle.

La 2e partie du chapitre dévoile Le concept de Conscience et les types de Conscience. On y explore la conscience comme l’observateur de notre existence, pouvant orienter son attention selon la conscience active à un moment donné. Chaque type de conscience a ses propres priorités, limites et croyances, influencées par l’Égo. Cependant, croire que développer une nouvelle conscience conduit à une destination est une illusion. Le véritable choix réside dans le libre arbitre, qui permet soit de rester piégé dans ces concepts limitants, soit de poursuivre une exploration plus libre et créative.

Le chapitre décrit différents types de consciences, dont la Conscience Fondamentale, qui gère les besoins corporels, et la Conscience Individuelle, liée à la perception de soi et des autres, influencée par les émotions et les perceptions sensorielles. La Conscience Unité permet de se percevoir comme partie intégrante d’un tout, mais peut aussi entraîner une perte de soi dans le collectif.

Il est aussi question de la Conscience Partagée, qui permet une connexion à des égrégores, et de la Conscience Volage, capable de "voyager" entre différentes réalités ou êtres. Enfin, la Conscience Pure permet un détachement total de l’individu, offrant un accès à la Connaissance Universelle et une expérience de fluidité et de liberté, loin des contraintes identitaires.

La 3e partie du chapitre explore la dualité entre l’Âme et l’Égo, et la manière dont chacun influence notre perception de la réalité et de l'amour. L’Âme, fragment de l’Amour Inconditionnel Universel, a la capacité de percevoir l’amour en toutes choses, mais cette vision est souvent obscurcie par l’Égo. L’Égo, quant à lui, se construit à partir de nos ressentis et croyances, créant une illusion de séparation et de manque d’amour. Cette illusion, qui commence dès l’enfance, façonne notre comportement et nous enferme dans une quête incessante de sécurité et de validation.

Pour dépasser cette illusion, il est essentiel de prendre conscience de son Égo, de le reconnaître et de le réorienter vers l’amour caché dans chaque expérience, même les plus douloureuses. Le chapitre invite à une transformation intérieure où l’on cesse de se définir uniquement par ses croyances limitantes pour redécouvrir sa capacité à créer sa propre réalité, en choisissant consciemment de voir l’amour présent en tout. Cela passe par la réévaluation de ses perceptions, l’abandon des jugements de bien et de mal, et l’ouverture à l’idée que tout ce qui se passe est « requis » pour l'évolution de la conscience.

La première partie du chapitre 4, intitulée L'ŒUVRE DU CRÉATEUR, explore la nature de la création humaine et divine, en posant la question de ce qui est réel et ce qui est illusion. Chantale Beaumont met en avant l'idée que l'œuvre d'un créateur, bien que nécessaire et significative, reste une illusion. Elle invite à se questionner sur ce qui est véritablement réel et souligne que la réalité physique est une construction basée sur nos croyances et perceptions.

Les êtres humains, explique-t-elle, se limitent par leur croyance que leur corps et les relations humaines sont les preuves uniques de leur existence. Cela conduit à un besoin constant de nommer, de comparer et de se définir, créant ainsi des barrières mentales qui limitent la perception de la beauté de la vie et de l'amour. Au cœur de cette exploration, elle montre que les sens humains, au lieu de simplement percevoir, sont en réalité des outils de création. L'illusion de manquer d'amour découle de l'identification aux limitations physiques, alors qu'en essence, chaque être est déjà Amour.

La deuxième partie du quatrième chapitre, "La Fuite / Le Déni de son Œuvre," explore le concept de la fuite comme une réaction à la honte et à la détresse émotionnelle. Lorsqu'une personne souffre, elle a tendance à vouloir se cacher, croyant fuir les autres alors qu'en réalité, elle s'éloigne d'elle-même. Ce chapitre souligne le conflit intérieur constant de ceux qui se cachent, tout en nourrissant l'espoir que quelqu'un les découvre et les comprenne.

L'Égo, qui trouve du réconfort dans l'obscurité, coexiste avec une Âme qui aspire à être vue et écoutée.

La société, en stigmatisant ceux qui expriment leur détresse, pousse souvent à la fuite plutôt qu'à la recherche de soutien. Ce rejet renforce l'idée que demander de l'amour et de l'affection est illégitime, ce qui mène à un sentiment de manque permanent et à la détresse de l'Âme.

Le chapitre évoque aussi l'importance de laisser la personne habiter sa propre réalité pour qu'elle découvre son rôle de créateur de cette réalité et commence à imaginer des alternatives.

Revisiter la honte pour la transformer en amour et en admiration est présenté comme une clé de la libération. Il faut pour cela un accompagnement qui sache voir au-delà des apparences pour reconnaître la valeur de la personne, même dans ses moments de vulnérabilité.

La fin du chapitre 4, Les Paradigmes Perceptuels, explore la nécessité de dépasser les limites imposées par les croyances et les réflexes d’imitation qui façonnent notre perception du monde. Nous héritons souvent de ces paradigmes à travers l’imitation de nos parents et les croyances sociales, mais ils ne sont pas universels et restreignent notre vision du monde.

Le texte invite à élargir sa perception au-delà des limites du corps, pour accéder à une compréhension plus profonde de la réalité. Cela implique de percevoir à travers la conscience, où la vue, l'ouïe et le ressenti ne sont plus liés aux sens physiques mais à une forme de captation universelle. 

Dans cet état, l'amour devient omniprésent et accessible sans médiation physique, et la peur de la mort s’efface, car la conscience, en tant qu’« antimatière », transcende les limites du corps.

Cependant, l’auteur souligne l’importance de maintenir un équilibre entre le corps et la conscience. Le corps est l’outil par lequel nous agissons sur Terre, et ne pas l’intégrer reviendrait à abandonner nos missions dans la matière. Développer une conscience détachée des entraves corporelles permet d’ajouter fluidité et légèreté à nos actions, tout en utilisant le langage vibratoire, un mode de communication universel, plus direct et efficace que les mots.

La première partie du chapitre 5, D'YEUX, explore la notion de divinité et la manière dont les humains perçoivent et projettent le concept de Dieu. Ce terme, chargé de puissance et de suprématie, suscite souvent un sentiment d'infériorité chez ceux qui vivent dans la peur. Ces personnes perçoivent Dieu sous différentes formes de pouvoir, comme des parents, des gouvernements, ou même des guérisseurs.

L'auteur met en avant l'idée que le pouvoir de ces "Dieux" réside dans la foi que les individus placent en eux, leur cédant ainsi leur propre pouvoir. 

Cette cession de pouvoir survient lorsque l'on doute de ses capacités ou que l’on se perçoit comme une victime face à une force supérieure. Cela perpétue une dynamique de domination où l'individu se sent dépendant et incapable de se libérer.

L'auteur invite à reconsidérer cette dépendance et à voir ces figures de pouvoir comme des éveilleurs de conscience, des catalyseurs de transformation personnelle. Il encourage à reconnaître la force intérieure qui émerge lorsqu'on surmonte la domination perçue, mettant en lumière la capacité de chacun à reprendre son pouvoir et à évoluer.

L’idée est de réaliser que la divinité n’est pas extérieure, mais intrinsèque à chaque individu.

La deuxième partie du chapitre 5 du livre explore le concept du Maître dans le cadre de l’évolution de l’individu, après l’Enfant et l’Adulte. 

Le Maître est un être libéré de ses croyances et de ses peurs, vivant avec détachement et fluidité émotionnelle. Il n’est plus limité par les concepts identitaires et agit en conscience pour le bien du TOUT.

Les besoins et objectifs du Maître dépassent le simple développement personnel pour inclure une contribution plus vaste à l'univers. Il s’accepte et accepte les autres, trouvant la richesse dans la diversité et l’authenticité. Le Maître oriente les autres vers leur potentiel en reconnaissant la valeur de chaque expérience, y compris les épreuves.

Son approche est marquée par la patience et la capacité à enseigner sans imposer de vérités absolues, préférant susciter le questionnement et la remise en question. Il voit chaque rencontre comme un moment de synchronisation parfaite et comprend que tout événement, même difficile, a un sens dans le cadre de l’évolution collective.

Le Maître valorise l'authenticité et utilise ses expériences, y compris ses échecs, comme des outils de transmission et de croissance. Il perçoit les émotions et les vibrations avec discernement et les accueille comme des occasions de progrès pour lui et les autres.

La troisième partie du chapitre 5 explique la notion de Conscience Universelle (CU), une entité complexe et vaste qui transcende la compréhension humaine. Elle est décrite comme un immense nuage contenant toutes les informations, pensées, idées et expériences de l'Univers, au-delà des réalités terrestres. La CU, par sa nature, enregistre tout ce qui a été capté par chaque être conscient, que ce soit sur Terre ou dans d'autres dimensions.

L’accès à la CU est bidirectionnel : elle nourrit les consciences individuelles et s'enrichit de leurs expériences. Cela signifie que même sans en être conscient, chaque être humain puise dans ce réservoir infini de connaissances et y contribue. La perception de cette connexion peut se manifester par des moments de savoirs intuitifs ou de compétences inexpliquées.

La difficulté à percevoir cette connexion vient de la tendance humaine à se percevoir comme séparé du TOUT. L'expérience de la vie terrestre, marquée par la sensation d'être isolé et détaché du reste de l'Univers, nourrit cette illusion de séparation.

Cependant, en reconnaissant notre lien constant à la CU, nous pouvons dépasser cette vision limitée de nous-mêmes et redécouvrir notre place dans le TOUT.

La dernière partie du chapitre, intitulée Le Concept de la Création (c’est toujours de la Cocréation), explore la manière dont nous pouvons revisiter et réinventer nos œuvres passées pour y intégrer davantage d'amour et de compréhension. Il s’agit de prendre conscience que nous sommes les créateurs de nos histoires, souvent marquées par des perceptions de souffrance ou de manque d'amour, mais que nous avons le pouvoir de les transformer.

Le texte souligne l'importance de réviser nos perceptions passées sans attendre la reconnaissance de ceux qui ont influencé notre histoire. En effet, ces personnes ne sont souvent pas conscientes de leur rôle dans nos expériences, et chercher leur approbation peut être vain et frustrant.

Le véritable travail de transformation est intérieur : se pardonner d’avoir créé des illusions de rejet, d’abandon, et reconnaître son propre pouvoir de création.

La Conscience Unique observe à travers chaque regard, nous orientant vers des situations qui questionnent nos croyances limitantes. Le processus consiste à accepter que le passé soit une construction subjective, à le revisiter sans attachement émotionnel, et à y découvrir une nouvelle réalité plus aimante.

Le doute, autrefois source de peur, devient alors une porte vers de nouvelles possibilités, nourrissant l’espoir et ouvrant la voie à une création consciente de sa réalité.

La conclusion du livre aborde les enseignements fondamentaux sur la Foi, la Divinité, et l’Unité. Elle rappelle que beaucoup de gens perdent de vue leur essence et leur potentiel, accrochés à leurs croyances et à leurs possessions. L'ascension vibratoire de la Terre en 2020-2021 a réveillé en de nombreuses personnes des capacités latentes, permettant à certains de redécouvrir leur nature profonde.

La Foi est définie comme une confiance totale en l’inconnu et une acceptation que le chemin est guidé par une force plus vaste, même si l’on ne comprend pas tout immédiatement.

La Divinité, quant à elle, est présente en chacun, se manifestant à travers l'authenticité et la sincérité des créations. C’est la capacité de percevoir la perfection dans chaque expérience, même au-delà des imperfections apparentes.

L’Unité est décrite comme le lieu où les Âmes et la Conscience se rejoignent, un espace infini où les potentiels se réalisent. C’est un appel à accepter notre connexion au Tout et à cultiver l'amour inconditionnel, en honorant notre propre Divinité et celle des autres. 

L'idée centrale est de renouer avec notre essence sacrée, pour vivre pleinement en harmonie avec le Tout.

L'aide-mémoire du livre résume les enseignements essentiels sur la réalisation de soi, la nature de l'Amour Inconditionnel, et la connexion à la Divinité.

Voici les principaux points :

1. Se réaliser et la Trinité Divine : Se connaître implique de comprendre la dualité entre le corps et la conscience, chaque aspect étant essentiel pour percevoir la réalité. La Trinité Divine se compose de l'observation de cette dualité, œuvrant à l'amour universel.

2. La nature de l'Amour Inconditionnel : Il s'agit d'accepter que chaque expérience perçue est ce qui est requis pour l'évolution. Cela signifie voir au-delà des apparences et percevoir l'amour là où il semble absent.

3. La Divinité en chacun : D'yeux est présenté comme une conscience omniprésente, un regard créateur qui s'exprime à travers nous. Chacun possède la capacité de créer sa réalité à travers ses croyances propulsées par la foi.

4. Le libre arbitre et le pouvoir de croire : Chaque individu a le pouvoir de choisir ce en quoi il croit, et ces croyances façonnent sa réalité. L'Égo est un système de croyances, à aimer plutôt qu'à rejeter.

5. Le processus de transformation : Se libérer des illusions de manque et s'accepter pleinement permet d'embrasser l'authenticité et de retrouver la foi en sa propre divinité, créant ainsi un chemin vers une existence alignée avec le Tout.

Ces enseignements visent à guider vers une vie de conscience, d'amour, et de réalisation personnelle.